La figure du mystique n’est plus propice à notre temps. La propagation brouillonne de la mystique naturelle (elle sans doute qui trouve en notre temps un milieu propice: je soupçonne que notre temps est un de ceux où l’expérience mystique est la plus commune, et où de se répandre elle ne trouve plus à s’incarner) ne trouve plus de système symbolique (dogmatique-légal) pour la tendre.
Il faudrait retrouver ce passage des Akhbar de Hallâj, dans les premiers temps de la mystique musulmane, où celui-ci loue la foi de celui qui l’envoie au supplice.