Tout de suite après avoir écrit Le Verdict*, Kafka note: « Gedanken an Freud natürlich », « pensé à Freud naturellement ». Claude David, dans son édition Pléiade, note qu’il s’agit sans doute de la première fois (1912) qu’un écrivain réfère explicitement ce qu’il écrit à Freud.
Kafka et Freud (Kafka et Proust 3)
