Dans Mathias Enard, que malgré ma déception j’ai tout de même repris, et fini ce matin, il y a ce beau portrait d’Istanbul par comparaison et composition:
Cette ville ressemble à la Sérénissime, mais dans des proportions fabuleuses, où tout serait multiplié par cent. Une Venise envahie par les sept collines et la puissance de Rome. (p. 71)