J’interromps ma lecture continuée de Phrasikleia (j’avais entamé le livre peu après l’achat, il y a un ou deux ans, mais n’avais pas été très accroché – trop technique? – d’après les traits marginaux, j’avais sauté le corps du livre pour chercher, sur la fin du livre, ce qui m’intéressait plus particulièrement alors – où j’ai repris ma lecture avant-hier: une note m’a renvoyé au premier chapître et depuis je lis en continu – bel exemple de la dialectique entre le séquentiel et l’accès direct!) pour prendre quelques notes qui risquent de m’échapper si je les diffère trop.
p.166 (n.): cite Théétète, 143c: alla, pai, labe to biblion kai lege, qui me rappelle le tolle, lege d’Augustin. D’autant plus suggestif qu’il intervient à l’occasion de l’histoire des meurtriers de Phokos qui, comme Augustin, entendent une voix anonyme, comme venue de nulle part, juste présente. Ce pourrait être intéressant de mettre tout ça en système.