le plaisir que nous donne le paysage réel n’est question d’oeil que de façon limitée; et, dans la plupart des cas, il s’accompagne d’un ressenti d’inhabituel bien-être. Le problème, pour le peintre, n’est pas purement de rendre les valeurs des objets visibles mais de nous donner, plus rapidement et infailliblement que ne le pourrait la nature, la conscience de ce bien-être extraordinaire.